Madalena Bernardino
Parce que je suis persuadée que l’on rencontre des personnes, pas des techniques, je vais vous en dire plus sur moi.
Et si cela résonne en vous, tant mieux !
Je m’appelle Madalena Bernardino et j’ai à cœur de vous aider à opérer en vous les changements nécessaires pour améliorer votre quotidien, votre confort, et devenir qui vous êtes réellement.
Plus qu’un métier, l’accompagnement est pour moi un chemin de vie que j’ai longtemps évité parce que je me pensais trop sensible.
C’est en défaisant un à un les conditionnements qui m’avaient construite que j’ai enfin pu comprendre que la sensibilité est une force, et qu’il faut du courage pour la porter à son plein potentiel.
Je travaillais dans un milieu où le spectre des émotions est tellement large (et violent!) que j’ai dû me couper de mes perceptions pour naviguer, me renforcer et réussir. J’ai réussi, selon les codes classiques de l’industrie.
C’est alors que mon être, a priori à l’abri du besoin de subsister, s’est mis à me parler : Insomnies, eczéma chronique, colères, anxiété, douleurs de dos, migraines, puis fatigues inexplicables et inexpliquées par tous les médecins qui ont croisé ma route.
J’ai pris, comme une bonne élève, les anti douleurs, anxiolytiques et anti acide que l’on m’a prescrits sans me rendre compte que j’étais en train de débrancher tous les systèmes d’alerte que mon corps m’envoyait.
La perception n’est pas une vérité
Un jour j’avais mal à l’épaule, et comme les doliprane étaient inefficaces, je suis allée voir une ostéopathe sans même savoir ce que c’était. Elle m’a dit que mon foie était en souffrance, et qu’il projetait une douleur dans l’épaule pour me faire réagir.
Elle m’a demandé si je ressentais souvent de la colère : quelle blague !
J’étais la colère ! En réalité, elle était devenue une béquille, avec la nourriture, l’anxiété, la cigarette et le café. Et je ne voyais pas le problème.
C’est elle qui m’a fait prendre conscience que mes émotions, très violentes, et l’inflammation de tout mon corps, n’étaient pas normales.
Aucun médecin auparavant n’avait questionné mon mode de vie, et je ne voyais pas en quoi il me détruisait. Mes repas faisaient dans les fast food où je travaillais, mes cafés me tenaient debout après que j’ai massacré mon rythme circadien, mes cigarettes m’octroyaient un peu d’assurance feinte, et puis je prenais du gaviscon en me tartinant de pommades à la cortisone pendant que je faisais des régimes protéinés dangereux. J’ai maigri, mais j’étais toujours en colère. Et malade. Et intoxiquée par la cigarette. Je ne le savais pas encore.
Quand j’ai arrêté de fumer avec l’hypnose j’ai compris que nous pouvons agir sur la manière dont nous nous sentons.
J’ai compris que la colère ne nous arrivait pas, qu’elle était juste une des nombreuses manières de réagir à son environnement, et que l’on peut choisir la manière dont on voit la vie.
J’ai compris que ma perception n’était pas une vérité.
Pourquoi j’ai choisi ce métier ?
Ces révélations m’ont transformée, puis quand j’ai enfin lâché la peur, j’ai changé de voie pour aider d’autres personnes sur leur chemin de guérison et d’épanouissement.
Il est possible d’arrêter de subir sa vie, de se défaire des constructions qui nous empêchent d’être nous-mêmes.
L’hypnose est un moyen un peu magique pour aller en soi, loin des injonctions extérieures, c’est pour cette raison que j’ai choisi cette voie.
Nul besoin de passer des années à ressasser le passé pour le comprendre : votre partie inconsciente sait ce qu’il y a de mieux pour vous, et je vous permets d’y accéder grâce à l’hypnose.
